Les dirigeants d'entreprise affirment que la technologie émergente déclenche un mouvement mondial qui a des répercussions sur "les chaînes d'approvisionnement, les services financiers, le gouvernement et les soins de santé" alors que les dirigeants expérimentent sur des réseaux actifs de la blockchain pour redéfinir les principes fondamentaux des transactions commerciales.
IBM a également souligné son développement du plus petit ordinateur du monde, qui a été conçu pour aider les entreprises à intégrer la blockchain en vérifiant l'authenticité des marchandises comme ils sont expédiés dans le monde. La puce est plus petite qu'un grain de sel et coûte moins de 10 cents à fabriquer.
Le directeur général d'IBM, Marie Wieck, directeur général de blockchain, a également expliqué comment l'utilisation généralisée de la technologie aurait un impact de 3,1 billions de dollars sur l'économie mondiale. S'adressant à l'Australian Financial Review, elle a mis l'accent sur une étude de Gartner qui estime que la valeur ajoutée de l'économie en chaîne à un peu plus de 176 milliards de dollars d'ici 2025, avec une hausse de plus de 3,1 billions de dollars en 2030.
Certains de ces gains sont déjà réalisés aux Émirats arabes unis. M. Wieck a qualifié Dubaï de chef de file mondial en matière d'adoption de la chaîne d'approvisionnement. Leur initiative Smart Dubai, soutenue par le gouvernement, vise à éliminer les systèmes papier qui sous-tendent constamment l'inefficacité. Ils prévoient de traiter les demandes de visa, les paiements de factures, les dossiers et transactions immobilières, les renouvellements de licences et les émissions de carbone en gérant l'ensemble de la chaîne de production.
À mesure que la technologie progresse, le traitement des employés d'IBM est sous le microscope
Attirant plus de 40 000 participants du 19 au 22 mars, la première conférence THINK d'IBM fait suite à des licenciements massifs, avec 20 000 travailleurs américains licenciés du géant de la technologie au cours des cinq dernières années, représentant près de 40 % de ses effectifs. Ces chiffres nous rappellent avec force que les grandes données, les technologies de la blockchain et l'intelligence artificielle, tout en rationalisant la gouvernance et l'efficacité des entreprises, peuvent entraîner des pertes d'emplois considérables.
Un rapport d'enquête de ProPublica intitulé "Cutting'Old Heads' at IBM" a publié une analyse surprenante selon laquelle, alors qu'IBM "se battait pour rivaliser dans le monde de l'Internet, l'entreprise de technologie autrefois dominante a réduit des dizaines de milliers de travailleurs américains, frappant ses employés les plus âgés avec le plus de vigueur et faisant fi des règles interdisant la discrimination fondée sur l'âge". Il s'agit d'un démantèlement captivant et approfondi qui laisse peu d'ambiguïté sur la façon dont les baby-boomers se retrouvent dans la ligne de mire de l'efficacité technologique.
"Tout aussi important, les entreprises ont besoin des cheveux gris tout autant que les vieilles têtes ont besoin et veulent le travail. Ce que les entreprises ne peuvent se permettre de faire, c'est simplement de réembaucher leurs travailleurs expérimentés et de les remettre dans leur ancien emploi. Les entreprises doivent penser plus intelligemment que cela. Ils doivent apprendre à tirer parti de l'expérience et de l'intelligence pratique des personnes d'âge mûr, à travailler avec des collègues plus jeunes et à réinvestir leur expérience dans l'entreprise."
Le rapport de ProPublica détaille des allégations détaillées contre IBM. Elle allègue que les employés à long terme qui avaient travaillé pour l'entreprise pendant plus de 10 ans se sont vu refuser une explication écrite de leur licenciement. Selon le rapport, IBM "a dit à certains employés plus âgés mis à pied que leurs compétences n'étaient plus à jour, mais les a ensuite ramenés en tant que travailleurs contractuels, souvent pour le même travail à un salaire inférieur et moins d'avantages sociaux".
Le géant de la technologie, qui emploie encore 400 000 personnes dans le monde, a réagi. Edward Barbini, porte-parole d'IBM, a écrit : " Nous sommes fiers de notre entreprise et de la capacité de nos employés à se réinventer d'époque en époque, tout en respectant toujours la loi. Notre capacité à le faire est la raison pour laquelle nous sommes la seule entreprise de technologie qui a non seulement survécu, mais qui a prospéré pendant plus de 100 ans."
Alors qu'IBM incite les entreprises et les gouvernements à se réinventer en embrassant la blockchain, et construit des initiatives autour des ancres cryptographiques et des transactions numériques pour combattre la fraude sur les produits, par exemple, la gouvernance d'entreprise dans tous les secteurs devra se tourner vers les travailleurs à travers le monde. L'exploration de la technologie ira de pair avec des débats sur les salaires supprimés et l'exploration du revenu de base universel et d'autres plans concrets pour aider les travailleurs déplacés et les sans-abri.
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RépondreSupprimerPoint de vue intéressant. Je crois à la blockchain en tant que technologie, mais je ne crois pas à la crypto. Je préfère les monnaies fiduciaires. Je les échange sur le marché des changes. Ildar Sharipov possède instaforex et il m'a aidé à comprendre cela.
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